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Montée en puissance du créationnisme, attaques dogmatiques contre les théories d’Einstein, la Tunisie et le monde islamique connaissent un automne scientifique et un déclin de la pensée critique. Le printemps arabe n’a rien changé. Au contraire. C’est la réalité que dévoile Faouzia Farida Charfi, Professeur de physique à l’Université de Tunis.

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