Encore interdit en Suisse, le diagnostic pré-implantatoire va être soumis au vote du peuple. Cette technique permet de savoir après fécondation in vitro si l’enfant à naître présente de graves maladies ou malformations génétiques. Le DPI évite la question de l’avortement mais pose celles de l’eugénisme et de la place du handicap dans notre société.
Emission 36.9°-27 mars 2013-RTS1